Author's Chapter Notes:
je m'excuse da la longeur de l'histoire :( et de la manque de Spufffy./ Sorry about the lack of length:( and the lack of Spuffy
Je cherche dans mon casier pour mes livres. Soudainement, je sens une peine sévère qui monte de mon bras. Un des adolescents qui se bouscule dans le corridor m’a frappé sur l’épaule. Mes bleus du jour précédent se commencent à s’élancer fortement. Mon visage est tordu par la douleur.

J’essai de le débarrasser mais le peine est si grave. Je regard dans le miroir suspendre sur le porte de mon casier. Mon visage une fois douce et pale est maintenant couverte de bleus et blessures. Mes yeux verts vibrants, sont encadrés par des bleus foncé et endolori. Tous les blues se revendiquent d’avantage avec mes cheveux blondes poli qui les accentuer, c’est presque impossible de les couvrir avec du maquillage, ils sont si foncés.

J’essaie encore un fois de les couvrir en dépit de ma connaissance que c’est inexploitable. En abandonnant mon tâche je ferme ma casier doucement avec un soupir sereine et finale. Je commence à me traverser les corridors quand je sens des yeux qui m’observent. Je me tourne pour découvrir des yeux blues comme le ciel de l’autre coté du couloir fixé directement sur les miennes. Le propriétaire de ces yeux, Spike, est un gars nouveau à l’école. Il semble remarquer mes bleus, un fait remarquable pour cette école ou les étudiants pense seulement d’eux-mêmes.

Quand il était arrivé à l’école, il était accepté par les étudiants populaires immédiatement, avec son physique et sa beauté. Je me suis si capturé par ses yeux que ça me prend quelques secondes pour me suis rendre contre qu’il est entrain de sortir du groupe d’élèves qui lui entoure. Je me commence a se reculer dans le coin du mur et juste quand il tourne a un de ces copains pour les parler pour un seconde je me fuir du couloir pour s’entrer dans mon premier classe du jour.



Je me suis situé en avant de mon casier. Mes nouveaux amis m’entourent. De l’autre coté du corridor, j’aperçoit une fille aux cheveux blondes qui est entrain de se fourrager dans son casier. Un gars discourtois lui frappe dans le bras en lui passent. Je lui poursuivent avec mes yeux mais il ne tourne jamais, alors je ne sais pas qui c’est.

Quand mes yeux retournent à la fille qui a capturé mon attention, je me rends curieux quand je vois son dos tendu. Elle enlève ses mains de son casier en les mettant à ces cotés, c’est à ce temps la quand je remarque les bleus et blessures qu marquent ces bras. Je me suis pris par le choc.

Quand elle se ressemble être calmer elle commence à changer de directions et traverse la corridor. Soudainement, elle arrête dans son chemin et tourne pour me regarder. L’expression sur son visage devient extrêmement bizarre. C’est prix entre la confusion, la peur et l’angoisse. Elle semble être gelé en temps. Je commence à lui approcher mais quand elle se rend contre de ce que je fait, elle commence à reculer. Je me tourne à Tommy, un de mes nouveaux amis.

« C’est qui cette fille là ? » je lui demande. Il regarde par dessous mon épaule et me répond : « C’est Buffy, Buffy Summers».

Il retourne à parler avec un des autres gars. Je me tourne encore pour se préparer à lui approcher, mais je me suis surpris de voir qu’elle est disparue.


Je sais le moment quand Buffy s’entre dans l’école. Pas juste par la sensation qui me récupère, mais par le silence qui rempli l’école. Quand Buffy s’en va à son casier comme rien est arrivé, tous les autres étudiants se retourne à ce qu’ils faisaient auparavant. Ça me rend furieux mais je ne dis rien. Buffy part de son casier et entre dans un classe rempli d’autres étudiants. Je me r’assure que je peut lui parler au temps du déjeuner, même si je dois lui forcer.

Je me change instantement de choquer à furieux.
«Que fait tu ?! » je cris a lui. « Je me suis presque mourir de peur.»
« Moi ?! » demande t’il. « Que fait tu ? Comment tu as était blessé comme ça ? » Exige t’il dans un voix dominant.

J’essai de me tourner et sortir du classe mais il me tourne rogeusement. Des larmes remplis mes yeux et quand je voit ces yeux changer de furieux à malheureux je m’éclate en sanglots. Il me prend dans ces bras et murmure des mots rassurants.

Quand je me calme il me tien devant lui. « Qui a fait ça ? » il me demande doucement. « Je ne peut pas te dire » je lui réponds. Puis je me cours vitement de la classe et à la cafétéria pour manger mon déjeuner.

Quand je vois les larmes dans ces yeux, je sens mon cœur qui s’éclate en des millions de pièces. Je lui tienne à moi férocement puis quand ces sanglots s’apaiser je lui demande doucement qui l’a blesser, mais elle me dis pas et cour de mes bras au porte de la classe. Je me demande qui pouvait faire ça m’est rien est venir à l’esprit. Je veut lui aider, mais comment puis je le faire si elle me laisse pas.

La cloche est sonnée et je s’en va à mon casier pour chercher mes choses, puis s’en va à ma prochaine classe. Quand j’entre, j’en vois Buffy assise entre la grande foule. Je me suis assis à coté d’elle ou les chaises sont tous vide. Le professeur entre dans la classe et nous annonce qu’on va faire un projet dans des partenaires. Il nous mettons deux par deux. Quand il déclare que Buffy et moi serait ensemble, je me suis retrouver l’espoir.

Mon cœur batte vigoureusement quand Spike tourne à moi avec un grand sourire sur son visage. Je suis peur qu’il va résoudre mon secret.


Je me suis arrivé à la maison de Spike. J’entends des bruits qui viennent de l’intérieur. Il y a des choses qui éclate dans la maison et je me devient inquiet de ce qui arrive. Je me suis dépêché à un des fenêtres qui se regarde l’intérieur de la maison pale bleu. Je vois rien sauf une table de cuisine et des chaises qui l’encercle.

Soudainement une assiette est apparu du nulle part. J’entend l’assiette qui s’éclate et un crie qui vient de la direction qu’il est disparu. Un homme entre dans la frame de la fenêtre et commence à crier. Quand il devient calme, il ressort de la maison et, sans ferment la porte, entre dans son auto et part. J’entre attentivement la maison. Ce que je vois fait que mon sang devient glacé.


Je me hâte au coté de Buffy qui se couche parterre avec sa tête qui saigne à profusion. Je sort mon téléphone mobile et appelle une ambulance. Quand je ferme mon téléphone je regarde au visage de Fauve et voit qu’elle a ouvrir ces yeux.

« C’était qui ?! » Je lui demande furieusement, des larmes qui couvrent mes joues. « C’était qui cette homme ? ! » « C’était… mon père » elle répond doucement, ces derniers mots même pas plus qu’une chuchotement.

Je me suis renversé. C’était son père qui a fait ça ? L’ambulance s’arrive et les ambulanciers prennent Fauve sur une civière. On conduit à l’hôpital, ou les policiers nous attendent.
« C’était qui cette fille ? » le première policier me demande. « C’était Buffy Summers » Je les réponds. Les policiers devient anxieux, puis me dis : « Ça serait tous, merci. » « Mais tu ne veut pas savoir qui l’à fait ? » je demande furieusement. « On sait c’est qui » répond le deuxième policier. Mais on ne peut rien faire. Son père est trop important dans cette ville. » Puis les policiers me laisse seule.


J’ouvre mes yeux. La lumière du soleil me couvre où je me couche sur la plancher. J’essai de me lever mais la peine est trop grave et je dois me recouché pour me reposer. J’entend des bruits fracassants, puis la porte est cagner. Je me sais que c’est mon père qui part. Je me lève encore, doucement et s’en va à ma petite chambre. Je me prépare pour l’école et part de la maison que j’appelle la mienne. Je regarde autour de moi avant de traverser le porche pour m’assurer que mon père est définitivement parti.

En entrent l’école, je me sens les yeux des élèves qui m’aperçu. La majorité retourne à ce qu’ils faisaient, mais je sens encore les yeux qui me regarde après quelque temps et me suis sure que c’est Spike qui m’observe. Je lui ignore, mais je sais qu’il remarque qu’il y a plus de blessures qu’hier. Je vais faire mon meilleur, mais je sais qu’il va essayer de me parler. Je s’en va a mon première classe du jour en lui éviter, dépit que je sais que je ne peut pas lui fuir pour toujours.
Au temps du déjeuner, je me suis entrain de traverser le corridor pour entrer dans le cafétéria, quand un main apparaît de l’inconnu et me prend par le bras pour me tirer dans un classe vide. J’essaie de crier main un main se fixe sur mon bouche et me rend incapable de parler. Je me tourne farouchement, je me suis rencontré par les yeux bleus de Canon. Je me suis stupéfait en silence et il me donne un petit sourire.

« C’est seulement moi » me dit il.
Après que la classe est finie, Spike m’approche. « Peut être on peut travailler à ton maison après l’école ? » demande t’il. Je cherche mon cerveau pour une raison acceptable pourquoi il ne peut pas venir chez moi quand je me souviens que mon père ne serait pas à la maison aujourd’hui. « Oui, ça serait acceptable. » je lui réponds. « Fantastique ! » s’exclame t’il. Je lui donne mon adresse et on s’écorte pour aller nos propres chemins.
Après l’école j’entre dans ma maison avec un sourire content sur mon visage. Mon sourire disparaît tout de suite quand je vois mon père dans la cuisine. Je me deviens effrayé quand il tourne avec le feu qui brûle dans ces yeux. Il me crie et crie, mais je ne sais pas ce que j’ai fait.

« Mais, Papa, » je dis doucement, « Qu’est ce que j’ai fait ? » « Qu’est ce que t’as fait ?! » crie t’il. « Tu as était né et tu a rend mon vie l’enfer ! »

Il ramasse une assiette du comptoir et l’augmente dangereusement. Je commence à reculer de la cuisine, mais il lance l’assiette directement à ma tête. C’est la seule chose que je vois avant que la monde devient noire et je s’en fondre.
Je me lève dans un lit de l’hôpital. Je se souviens de ce qui est arriver et tourne au porte du chambre pour voir Spike qui m’observe pensivement. « Tu va venir vivre avec moi » me dit it. Je me suis perplexe. Je me serais libéré de mon père. « T’est sérieux ? » je lui demande avec un grand sourire. « Oui, » dit il, « tu va vivre avec moi et mes parents.

Mes yeux se rempli de larmes de joie et je me jette du lit et dans ces bras ouvertes pour lui donner une grande entreinte. « Merci, » je susurrer, « Merci beaucoup. »





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