Author's Chapter Notes:
mille merci a mon beta Angeliva ainsi que qu'a vous tous qui encouragez cette hsitoire xxxxxxx
Chapitre 4
Quand Giles m’a appelé ce soir là pour m’expliquer que Dawn désirait me parler, j’ai toute suite cru qu’il me menait en bateau. Mais quand il m’a expliqué brièvement qu’elle croyait que son père battait sa mère, la partie de moi qui essayait vainement d’oublier Buffy a changé d’avis. J’ignore pourquoi, mais la première fois que je l’ai vu quelque chose s’est éveillée en moi, quelque chose que je croyais mort depuis le départ de Drusilla. Elle n’était comme aucune des femmes que j’avais rencontrées, quand elle avait mis son bras autour des épaules de sa fille pour la calmer, j’ai senti à quel point elle était protectrice envers elle. J’ignore si elle s’en ait rendu compte, mais le regard qu’elle m’a lancé m’a gelé sur place, il parlait encore plus fort que des mots et le message était clair : si tu fais de la peine à ma fille je te tuerai… Je connais ce regard, Anne et Clem ont le même quand il s’agit de moi et ma sœur, même si nous ne sommes pas leurs enfants biologiques. Je sais qu’elle se trouve quelconque mais à mes yeux elle est parfaite, je déteste les femmes qui n’ont que la peau et les os, quand j’étais avec Dru j’ai souvent souhaité qu’elle soit un peu plus ronde, Buffy est loin d’être grosse, tout juste 130 livres, juste assez de rondeur pour donner des formes à son corps, le fait que son mari la déprécie est la preuve qu’il ne connaît rien du tout à la beauté. Honnêtement, je n’avais qu’une envie, empoigner cet imbécile et le battre jusqu'à ce que mort s’en suive, ou au moins un profond coma. J’ai hésité longuement sur la marche à suivre, devais-je confronter son mari ou aller voir Buffy ? Une chose était sure, il était impossible que je reste en dehors de sa vie maintenant, peu importe à quel point elle allait essayer de me repousser et je savais qu’elle le ferait. Finalement, aller voir Buffy était une option beaucoup plus sure.
Je la remarqua toute suite, elle était en train de parler à un homme de forte stature dans le fond de la pièce quand je suis arrivé, la conversation semblait plutôt chauffée et j’ai tendu l’oreille.
« Je te jure Angel, je suis tombée en allant porter des boites au sous sol ! »
« Et tu es tombée sur les poings de Parker ? », Buffy se passa la main dans les cheveux d’un geste exaspéré ce qui eu pour effet de faire tomber plusieurs vrille de cheveux de son chignon, je ne l’avais jamais trouvé aussi belle malgré les marques qu’on pouvait deviner sous son maquillage.
« Angel, je t’en prie, pour la dernière fois reste en dehors de tout ça. »
« Je suis désolé Buffy, je veux juste que tu saches que je suis là si tu as besoin de parler. »
« Oui, c’est gentil. », Angel la pris contre lui et la serra dans ses bras.
J’ai sentit les muscles de ma mâchoire se crisper et une vague de jalousie s’emparer de moi, mais qui était ce type au juste ? L’homme qu’elle avait appelé Angel s’éloigna et entra dans un pièce sur la droite, j’ai continué d’observer Buffy qui plaçait diverses gravures sur le mur. Au bout de quelques minutes, j’ai décidé de lui faire remarquer ma présence, je me suis approché d’elle doucement par derrière et je lui ai mis les mains sur les yeux.
« Devine qui c’est ? », Buffy en perdit presque l’équilibre et son corps trouva appui sur le sien, il pouvait sentir son cœur s’accélérer.
« Spike. », son nom n’était pas plus qu’un murmure, presque une prière.
Elle se tourna lentement vers moi et son regard se perdit dans le mien l’espace d’un instant, elle sembla reprendre très vite pied et me repoussa.
« Que fais-tu ici ? », son ton était froid mais la chaleur de ses yeux démentait ses mots, « Je croyais avoir été claire. »
« Tu sais très bien ce que je suis venu faire ici. », l’attirant à nouveau contre lui il l’embrassa passionnément et elle répondit avec toute la passion qu’elle possédait, un seul contact de ses lèvres et elle était une femme perdue, elle en oubliait tout, de ses demandes, de son mari, de sa vie, il n’y avait que lui et elle et cet incroyable baiser. Il du à un moment ou a un autre respirer et Spike la regarda tendrement avant de caresser son visage.
« Oh, mon pauvre amour, mais que t’a t-il dont fait ? », il comprit son erreur quand il l’a sentit se crisper sous ses doigts et elle le repoussa pour la deuxième fois mais avec plus de force.
« Que fais-tu exactement ici Spike ? », au lieu de lui répondre il lui posa une autre question.
« Il te frappe depuis longtemps ? »
« Qu’est-ce que tu racontes ? Parker ne m’a jamais frappé ! D’abord Angel, et maintenant toi ! Qu’est-ce que vous avez tous à la fin ! »
« Buffy, je sais que tu me mens, tu ne peux pas t’être fait ces marques en tombant. », elle le regarda avec soupçon.
« Attends un peu, je ne t’ai jamais dit que j’étais tombée. »
« Où est ton bureau ? », elle soupira irritée.
« Ne change pas de sujet, Spike. », espionnant du coin de l’œil une porte ouverte, il l’a pris par la main et l’entraîna à l’intérieur.
Une fois la porte refermée, il regarda autour, la pièce était spacieuse et remplie de caisses.
« Bébé je t’en prie, ne fait pas ça. »
« Ne fais pas quoi ? », elle demanda.
« Ne me ment pas, tu n’as pas à le faire. Quoi qu’il est pu se passer, tu n’es pas responsable. »
« Tu ne comprends pas ! Parker est loin d’être le mari de l’année, mais ce n’était jamais arrivé avant, je l’ai trop poussé, je passe mon temps à lui faire des reproches. »
« Tu crois vraiment que ça lui donne raison ?»
« C’est le père de Dawn, je ne peux pas détruire sa famille pour une histoire de sexe. »
« Sa famille ? Buffy, Dawn n’est pas idiote, elle sait ce qui se passe et elle en est morte d’inquiétude. Pourquoi crois-tu qu’elle ait demandé à me parler ? ».
Quand j’ai prononcé ces paroles, j’ai su que je venais de trahir ma promesse faite à Dawn, mais Buffy devait comprendre qu’au lieu de protéger sa fille elle ne faisait que les enliser dans un mensonge toutes les deux.
« C’est ce dont il s’agit alors, tu es venu pour essayer de jouer les héros pour une de tes fans en détresse. », elle dit d’un ton amer. Spike la regarda comme si elle avait perdu la tête.
« Dawn n’est pas une fan, elle est ta fille. Et puis j’ai essayé de te revoir, c’est toi qui n’a pas voulu ! »
« Car c’était une folie, et s’en est toujours une. »
« Je vais te dire ce qui est de la folie… De rester avec lui, même quand il te prend pour un punching-ball, de feindre que tout va bien quand en fait tu vis un enfer, mais surtout de nier ce qu’il y a entre nous ! », à chacun des mots qu’il avait prononcé, il avait envahi de plus en plus son espace personnel, jusqu'à ce que leurs lèvres soient à peine à quelques centimètres à part.
« Ce n’était qu’une nuit. », elle murmura plus pour se convaincre qu’autre chose.
« Je vais t’embrasser Buffy, et si tu ne veux pas que je le fasse, tu n’as qu’à t’éloigner. », il lui laissa quelque secondes avant de capturer ses lèvres de nouveau dans un baiser passionné.
« Tu ne comprends pas que tu es faite pour moi. », il lui murmura doucement, ses lèvres toujours contre les siennes.
Quand elle a ouvert ses yeux, j’ai su que j’avais gagné le premier round, je n’avais rien imaginé, Buffy m’aimait aussi.
Le monde autour fut oublié, il n’y avait plus rien que nous, la chaleur de nos deux corps et cette pièce isolée du monde.
Quand ma main remonta à l’intérieur de sa cuisse, elle entrouvrit les jambes un peu plus m’invitant silencieusement à continuer, mes lèvres ont dégusté chaque pouce de sa peau avec une lenteur infini, digne de la plus grande torture, son cou, ses lobes d’oreille, sa poitrine magnifique, son ventre doux, chaque morceau de vêtement que je lui enlevais me révélait un trésor. Quand sa jupe fut enlevée et qui ne lui resta que sa culotte, j’ai pris un moment pour l’observer, son chignon défait, le corps enclin à demi couché sur une caisse de bois, les lèvres légèrement entrouvertes, les yeux pétillants et la respiration lourde. J’ai presque éjaculé dans mes pantalons tellement le tableau qu’elle m’offrait était érotique.
« Déshabille toi. », m’a t-elle demandé d’un ton enroué, « Je veux te voir. »
J’ai enlevé mes vêtements un à un sous son regard fixe, quand je fut totalement nu elle enleva elle-même sa culotte et entrouvrit ses jambes pour me faire voir son sexe lisse, j’ai coulé à mes genoux pour y enfouir mon visage, je devais la goûter. Ma langue traça les lèvres de son sexe tandis que mes doigts pénétraient en elle de plus en plus rapidement, taquinant et suçant son clitoris. Quand elle se mit à trembler et gémir de façon incohérente, j’ai redoublé d’ardeur et elle a jouit, éclaboussant mon visage, prise de soubresauts dans un orgasme silencieux ,se mordant les lèvres pour ne pas crier. Ne lui donnant pas le temps de se remettre, j’ai pénétré en elle gémissant à la façon délicieuse que ses muscles ont serré ma verge. Quand son autre orgasme l’a secoué, elle mis ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de mon cou et ses lèvres ont dévoré les miennes, pendant que nous montions de plus en plus haut vers les cimes du plaisirs, nos orgasmes furent simultanés et quand je me suis reposé, dépensé, la tête couchée sur sa poitrine tandis que ses doigts caressaient mes cheveux, j’ai supplié à qui voulait bien m’entendre de ne jamais plus la perdre.
………………………
« Tu veux me dire ce qui s’est passé ? », lui ai-je demandé doucement.
Nous venions de remettre nos vêtements et je sentais sa timidité revenir, mais je refusais de la laisser gagner. J’étais venu ici dans le but de savoir la vérité et bien que l’interlude avait été très plaisant, il était temps de retourner à la réalité où elle était mariée à un salaud qui la battait et où elle refusait de le quitter pour une raison que j’ignorais toujours. Elle m’a regardé un moment mais s’est finalement avouée vaincue, venant se blottir de nouveau contre moi, elle s’est reposée le dos contre ma poitrine et j’ai encerclé sa taille de mes bras reposant mon menton sur son épaule.
« Il a travaillé toute la journée samedi dernier et ensuite il est sorti boire un verre avec un ami. Quand il est rentré, je savais qu’il avait bu plus que de raison et puis j’en ai eu assez, il était passé minuit et il n’avait pas donné signe de vie de toute la journée alors je l’ai interpellé. Nous avons l’habitude de nous chamailler tout le temps et jamais il n’a levé la main sur moi, mais quand je lui ai dit que les filles qu’il se tapait dans mon dos couchaient avec lui uniquement car elles pouvaient avoir une promotion, il est devenu fou et il s’est mis à me frapper… Écoute, je sais depuis longtemps qu’épouser Parker était une erreur, il était un très mauvais petit ami alors j’ignore pourquoi j’ai cru qu’il ferait un bon mari et encore moins un bon père. »
« Alors pourquoi être restée ? »
« Mon père a trompé ma mère toute sa vie et puis un jour il a décidé de la quitter et je ne l’ai plus jamais revu. J’ignorais avant ce jour que c’était possible. », elle s’est tue tout à coup, incapable de continuer.
« Qu’est-ce qui est possible, Buffy ? », j’ai insisté.
« D’arrêter d’aimer sa femme et sa fille en même temps. Quand on met un enfant au monde, on devrait l’aimer pour toujours, non ? »
C’est alors que j’ai compris que Buffy n’était restée avec lui que pour une raison : sa fille. Elle ne voulait pas que celle-ci vive la peine que le départ que son propre père avait engendré. Mes yeux se sont remplis de larmes à la pensée de l’enfant qu’elle avait une fois été et qui avait attendu vainement des nouvelles d’un homme qui l’avait abandonné.
Je l’ai retourné pour qu’elle me regarde.
« Parker n’est pas ton père Buffy, et puis veux-tu vraiment que Dawn ait des liens avec un homme capable de défigurer sa femme ? »
« Elle est à un age compliqué, elle a besoin de quelqu’un qui la protège, qui lui montre le droit chemin. »
« Elle t’a toi amour, Parker ne s’est jamais impliqué dans son éducation, est-ce que je me trompe ? »
«,Non, il l’a pratiquement ignoré toute sa vie. »
«,Et puis, elle m’aura moi, si tu le veux bien… »
Elle m’a sourit tendrement.
« Spike, tu as vingt cinq ans ! Crois moi, tu as beaucoup mieux à faire que de servir de modèle à une adolescente. »
« Et si je suis amoureux de sa mère ? »
« Tu ne peux pas être amoureux de moi ! Tu me connais à peine ! »
« J’ai encore beaucoup de choses à savoir sur toi amour, mais je suis désespérément amoureux de ce que je connais déjà. »
……………………………
Spike pouvait être la personne la plus insistante de la terre, c’est ce que j’ai découvert dans les jours qui ont suivi. Il a continué à débarquer à la galerie juste pour me souhaiter une bonne journée et discuter avec moi avant de m’embrasser à bout de souffle, me laissant chancelante et hantée par ce baiser pour les reste de la journée. Bien sur, j’avais le numéro de sa chambre d’hôtel et j’ai faillit plusieurs fois courir le rejoindre pour me blottir sous les couvertures avec lui et croire à chacune des promesses qu’il me murmurait à l’oreille mais je n’ai pas succombé, même pas après les fleurs et les bijoux livrés quotidiennement, ni les appels lourds de sous entendus. Bien qu’il s’était mis en tête de me convaincre de nous donner une chance, je fut très reconnaissante que sa poursuite se soit limitée à mon lieu de travail, car j’ignore comment Parker aurait réagit et c’est sûrement pour cela qu’il ne l’a pas fait. Dawn ne m’a jamais demandé si Spike était venu me voir mais je pouvais sentir son regard inquiet pesant sur moi, et maintenant que j’étais au courant qu’elle savait la vérité, je me suis mis sérieusement à envisager de partir. L’histoire d’amour que Spike m’offrait n’était toujours pas une option, cependant la différence d’age entre nous et son métier s’accrochaient comme une épée de Damoklès au-dessus de nos têtes.
Et puis quatre jours plus tard, j’étais en train de faire la vaisselle tandis que Dawn faisait ses devoirs à l’étage, quand Parker rentra du travail et il semblait d’une humeur exécrable.
« Le souper est prêt ? », m’a-t-il demandé sèchement.
J’ai tressailli à son ton, mais je n’ai pas voulu lui montrer que j’avais peur.
« Oui, mais c’était il y a trois heures, maintenant tout est froid. », il a frappé violemment sur la table.
« Est-ce que c’est trop demander qu’un homme ait un repas convenable quand il rentre du travail ? »
« Je te signale que je travaille aussi et que si tu étais rentré à l’heure, le souper aurait été chaud ! »
Il rit méchamment.
« Travailler ? Toi? Cette galerie, ce n’est pas un travail mais un passe temps ! Tu devrais venir à mon travail, tu verrais ce qu’une vraie femme peu accomplir. »
« Et si on échangeait nos places ? Tu travailleras à la galerie, tu t’occuperas de la maison et de Dawn, tandis que moi je passerais mes journées en déjeuners d’affaires et souleries en tout genre ! »
« Tu sauras, espèce d’idiote, que le métier d’avocat est beaucoup plus compliqué que cela ! En tout cas, plus compliqué que d’accrocher des tableaux aux murs et passer le reste de la journée à prendre des kilos en se goinfrant comme une oie. »
« Les vrais avocats oui, mais toi, laisse moi rire ! Tu n’as eu aucun procès depuis plus de cinq ans, tu ne fais qu’étouffer des tempêtes dans un verre d’eau à coup de dédommagements monétaires. Tes patrons ont trouvé le poste qui te convenait le plus, celui où tu peux courir la bergère et lécher le cul de tout ceux qui sont plus puissants que toi ! »
Et puis j’ai levé les yeux et j’ai vu Dawn qui nous écoutait silencieusement sur le pas de la cuisine et j’ai regardé nos reflets, celui de moi et Parker dans la vitre, et j’ai compris le tableau grotesque que nous offrions à notre fille chaque jour, un mariage sans amour où la méchanceté était notre lot quotidien. Je croyais protéger ma fille alors qu’en fait j’étais en train de la détruire de la même façon que son père et moi nous nous détruisions. Quelle image aurait-elle de l’amour et des hommes ? J’ai déposé mes gants de vaisselle et j’ai contourné Parker.
« Dawn, ma chérie, tu veux bien préparer un sac pour la nuit ? Nous allons passer la nuit chez ta grand-mère. », elle hocha la tête et monta en haut faire ce que je lui avais demandé.
« Qu’est-ce que c’est cette histoire ? », hurla Parker.
Je l’ai regardé le plus calmement du monde.
« Tu ne vois pas que nous sommes en train de nous détruire et Dawnie par le même occasion ? Il n’y aucun amour entre nous Parker, il n’en a jamais vraiment eu, alors pourquoi est-ce qu’on continue cette comédie ? »
Il se mit à rire de nouveau.
« Tu ne me quitteras jamais, ce n’est qu’un autre de tes drames ! »
J’ai haussé les épaules et je suis montée me préparer. Quand je suis redescendue avec Dawn, il avait disparu.
« Tu crois que Papa est en colère ? », me demanda-t-elle incertaine.
« Oui, mais il s’en remettra. Dawnie, est-ce que tu veux que les choses restent comme elles sont ? », lui ai-je demandé sincèrement.
« J’ai toujours peur qu’il te frappe à nouveau, je ne veux plus vivre avec lui. Est-ce que je suis quelqu’un de méchant, maman ? »
« Bien sur que non, pourquoi dis-tu cela ? »
« Il est mon père, je ne devrais pas vouloir qu’il s’en aille. », j’ai pris ma fille dans mes bras.
« Dawnie, quelque part ton père s’est perdu et il est devenu cet homme méchant que nous côtoyons depuis les dernières années. J’ignore si l’autre reviendra un jour, mais en attendant il vaut mieux se sauver toutes les deux avant que ça nous détruise. »
Et nous sommes parties toutes les deux. J’avais pris ma décision cette fois, c’était vraiment fini, mais je savais que Parker ne me laisserait pas partir si facilement…





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