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(comme je l'ai indiqué au début cette fiction sera plus sombre sur beaucooup de niveau la fin ce chapitre contient une scene sm très graphique donc ne lisez pas si ce n'est pas votre tasse de thé )




Chapitre 8
La nuit était tombée sur Sunnydale comme un linceul, rappelant à ses habitants les dangers que le soleil réussissait à masquer. Wesley observait Tara bercer tendrement leur fils avant de le mettre au lit, le temps du coucher était dépassé depuis longtemps, mais étrangement ni un ni l’autre n’avait voulu se séparer de lui. Ce n’est que quand le sommeil commença à se faire sentir chez lui qu’ils se résignèrent à le préparer pour la nuit. Ils n’avaient pas prononcer son nom depuis ce matin, la seule exception était quand Tara avait fait le charme d’anti-détection qu’elle avait été mentionnée, mais même là, son nom n’avait pas été dit. Peut-être que si ils continuaient à ignorer son retour, ils pourraient oublier qu’elle existait toujours. Malgré les paroles sages de San Jay, la peur de la perdre s’était installée dans son estomac refusant de lâcher prise et elle était encore plus présente depuis qu’il avait reçu l’appel de Giles.
C’était à lui qu’incombait la tâche de convaincre Tara de bien vouloir travailler avec Willow pour combiner leurs magies pour faire face au Conseil et c’était dans des moments comme celui-ci qu’il regrettait amèrement leur style de vie. Il n’avait pas envie qu’elle la revoit, encore moins qu’elle travaille avec elle mais le destin du monde comme il le connaissait était en jeu, il n’avait pas le choix. Même si son cœur lui criait de les prendre elle et Nathanael le plus loin possible d’ici.
Tara connaissait bien Wesley, elle savait que quelque chose le rongeait à l’intérieur. C’est pourquoi après avoir installé Nathanael pour la nuit, elle était venue se blottir sur ses genoux, ses bras forts s’étaient immédiatement enroulés autour d’elle pour la serrer contre lui et elle lui embrassa doucement la tempe avant de lui demander d’une voix douce :
« Qu’est-ce qui ne va pas, chéri ? »
Elle le connaissait si bien, ça ne cessait jamais de le surprendre…
« Giles a appelé. Il dit que peu après ton charme d’anti-détection, une forte magie a scanné la ville sûrement à la recherche des trois fugitives. Ça ne veut dire qu’une chose, le Conseil est au courant qu’elles sont à Sunnydale. J’ignore comment ils ont fait, peut-être que Travers a appris qu’elle était avec la nouvelle Tueuse et il y est allé par déduction. »
Encore là, il refusait toujours de prononcer son nom. Il pris une grande respiration avant de continuer :
« Ils débarqueront bientôt, le charme que tu as lancé pourra nous donner un certain répit, mais ils découvriront bien d’une façon ou d’une autre où elles sont et nous allons avoir besoin de toute la force nécessaire pour les combattre, autant physique que magique et Giles voudrait que Willow et toi combinez vos forces. »
Elle se leva d’un bond comme si elle avait été brûlée et il sentit le fait qu’elle s’éloigne de lui comme un coup de poignard en plein cœur.
« Non, Wesley ! Comment peux-tu me demander une chose pareille ? Je combattrai avec vous, mais je refuse de travailler avec elle, pas après ce qu’elle m’a fait ! Nous pouvons très bien travailler chacune de notre côté. »
Il l’a regarda désespéré, les choses seraient si simples si c’était possible, mais malheureusement leurs forces combinées seraient mille fois plus puissantes que si elles étaient séparées. Il le savait, Tara le savait, même si ils donneraient tout pour que ça ne soit pas le cas.
« Bébé, que tu sois près d’elle est la dernière chose que je veux et tu le sais, mais Giles a raison. Combiner vos forces peut être notre seule chance… Tu crois que je te le demande à la légère ? Si je m’écoutais, je quitterais cette ville sur le champ avec toi et le bébé pour ne jamais revenir. »
« J’aimerais tellement avoir le courage de le faire. », murmura t-elle tranquillement, « Mais ce n’est pas dans notre nature, n’est-ce pas ? »
« Non. »
Elle revint se blottir contre lui, tremblante.
« Pourquoi est-ce qu’elle a du revenir, Wesley ? Notre vie était si parfaite. »
« Aussi pénible que c’est pour moi de le dire, ce n’est pas de sa faute cette fois, c’est celle du Conseil. »
« Tu as raison, tu viendras avec moi ? Je veux dire, quand j’irai la voir. »
« Tu n’iras nulle part sans moi, nous trouverons une façon de traverser cette épreuve Tara, je te la promet. »
Elle ne dit rien, elle se contenta de l’embrasser à bout de souffle comme si sa vie en dépendait et pendant les heures qui suivirent dans l’intimité de leur demeure, ils mirent tout en œuvre pour oublier ce que demain allait leur apporter, même si ce n’était que pour quelque temps...

Avertissement la partie suivante contient une scène sado maso très graphique entre Buffy et Spike ne lisez pas si ce n’est pas votre tasse de thé.
Buffy se tordait d’un air impuissant sur le lit, ses mains et pieds attachés aux quatre coins, couchée sur son estomac, ses fesses légèrement soulevées de façon à ce qu’elle ne puisse se frotter sur les draps en satin pour se donner un peu de satisfaction. Sa chasse de la nuit avait déclenché un désir ardent en elle, comme à chaque fois. Donc, à son arrivée elle n’avait qu’une idée en tête : avoir Spike profondément en elle et elle le voulait maintenant, elle avait sauté dans ses bras l’embrassant passionnément, le suppliant de la prendre sur la première surface disponible. Malheureusement pour elle, il avait d’autre plan, une affaire à faire tourner, il lui avait demandé encore une heure histoire de mettre la soirée en marche, mais elle avait refusé se mettant en colère et s’était éloignée accrochant le premier type qui passait et l’entraînant sur la piste de danse. Elle avait pratiquement fait jouir sur place le type complètement déconcerté de tout le contact et les taquineries qu'elle lui avait fait subir, drapant son corps sur le sien et rectifiant ses hanches, lui murmurant des choses cochonnes à l’oreille… Alors Spike était apparu, l’avait drapé sur son épaule et montée de force dans leur suite, il n’était pas en colère, pas vraiment, il la connaissait assez bien à ce jour pour savoir qu’elle ne voulait que lui, mais elle savait aussi qu’il lui ferait payer chèrement le fait qu’elle ne voulait pas comprendre qu’il devait aussi travailler et non juste céder à chacun de ses caprices…
Ce qui était exactement pourquoi elle l’avait fait, elle savait ce qui arriverait et brûlait pour cela. Avec les années, les jeux entre eux n’avaient fait que s’améliorer. Mais au lieu de la punir toute suite comme elle le voulait, il s’était contenté de l’enchaîner au lit avec les chaînes magiques qu’elle ne pouvait pas défaire et était redescendu travailler, mais pas avant de lui avoir murmurer d’une voix dure à l’oreille :
« Je sais à quoi tu joues, Buffy. Tu as eu exactement ce que tu voulais ma petite putain, comme à ton habitude, mais maintenant tu vas payer, tu le priais de te baiser sur la petite danse comme une petite chienne en chaleur ? TU es à moi Buffy, j'ai pensé que tu le savais. TU es ma femme, mon esclave ..., la MIENNE. Pour utiliser, baiser, punir, faire de toi ce que je souhaite et personne ne doit te toucher. JAMAIS. »
Et il était parti refermant la porte derrière lui sachant instinctivement ce que son petit acte dominateur lui faisait, ses jus coulaient le long de ses cuisses et aucune façon de jouir pour avant un très long moment...
Quand il revint dans la pièce, plus d’une heure était passée, elle l’entendit se déplacer rapidement ouvrant le coffre à jouets au pied de leur lit, sa respiration s’accéléra dans l’attente de ce qui allait suivre.


`..........................
lA SCÈNE QUI SUIT EST TRÈS ADULTE VOUS EN ETES AVERTIS


« Ma vilaine fille a besoin d’être punie, tu as été si désobéissante, je crois que je suis trop doux avec toi…» Elle sentit les liens en cuir de son fouet préféré caresser doucement ses fesses, il savait ce que cet instrument lui faisait, il n’était pas assez dur pour la blesser mais juste assez pour donner une douleur agréable comme elle aimait. Parfois son côté plus sombre le demandait et elle avait cessé de se battre avec cela il y a longtemps. Excitée, elle gémit doucement son nom, elle le sentit agripper ses cheveux et relever sa tête pour qu’elle le regarde.
« COMMENT OSES-TU OUBLIER DE T'ADRESSER A MOI CORRECTEMENT ! »
« Désolée, monsieur. », elle répondit obéissante.
« Maintenant, tu vas me remercier pour chaque coup que je vais te donner et tu as intérêt à ne pas bouger d’un pouce. »
Il ne commença pas sa punition toute suite, il attendit patiemment la regardant trembler dans l’attente et quand elle commença doucement à se détendre, il lui asséna le premier coup de fouet.
Clac ! « Merci, monsieur. »
Au bout de cinq minutes, ses fesses étaient en feu et des larmes coulaient sur ses joues, mais elle ne s’était pas déplacée prenant sa punition docilement comme une bonne esclave, priant silencieusement qu’il la prenne. Quand les coups cessèrent, elle attendit son ordre suivant et fut surprise de sentir les chaînes quitter ses poignets et ses pieds.
« Maintenant ma vilaine petite chienne, tu vas te mettre à genoux, le cul en l’air, ta figure contre le sol et tu vas écarter tes fesses pour que je puisse punir ton petit anus. », elle s’exécuta rapidement, son corps tremblant de désir.
« Peut-être que je devrais demander à ton nouvel ami en bas de venir voir comment docile tu peux être ? »
Sa seule réponse fut un gémissement de plaisir à l’idée. Il savait que tout ça n’était pas réel, mais que l’image dans sa tête serait très érotique, il caressa doucement son anus de son doigt avant de le pénétré doucement la baisant tranquillement avec celui-ci.
« C’est là que tu aurais aimé qu’il te baise, n’est-ce pas ? »
« Non monsieur, seulement vous. »
« Menteuse ! », il prit le fouet et lui asséna trois coups cuisants à travers la peau tendre de son anus. Elle hurla.
Quand elle entendit le bruit de sa fermeture éclaire descendre, elle gémit doucement souhaitant qu’il accepte de la prendre, son corps était en feu.
« Maintenant, mets toi à genoux comme une bonne fille et regarde moi. »
Quand elle leva les yeux, elle vit qui se masturbait tranquillement.
« S’il te plait bébé, j’ai besoin de toi. », sa seule réponse fut un coup de fouet sur ses seins.
« Je ne crois pas que tu le mérite encore. Rampe maintenant, jusqu’à la boîte de jouets Buffy et va chercher le dildo vibrant et les attaches de mamelon. »
La liste entière de choses étaient des articles qu'elle aimait qu’il utilise sur elle. Que diable projetait-il ? Elle se dépêcha d’aller au coffre et pris les articles demandés, elle se mit à genoux ensuite mais ne savait pas comment continuer avec ses mains pleines.
« La permission de marcher, Monsieur ? »


« Permission niée, ma petite chienne. Viens vers moi sur tes genoux. »
Elle se rendit donc à quatre pattes comme demandé.
« Maintenant, joue avec toi Buffy, montre moi ce que tu veux que je te fasse… Allez, caresse ton petit clitoris je sais qu’il est tout dur ne réclame que ça, je te connais ma belle, rentre tes doigt dans ton sexe, frotte et pince tes mamelons jusqu'à ce qu’ils soient durs et douloureux. »
Ses mains voyagèrent lentement en bas son corps, arrêtant pour caresser ses seins, tournant autour de ses mamelons, les tirant jusqu'à ce qu'ils soient durs, les pinçant, les punissant. Elle ferma les yeux et gémi, imaginant que ses mains étaient les doigts doués de Spike.

« Ouvre tes yeux et regarde-moi, ne regarde pas loin un seul instant. De quel main as-tu envie pour caresser tes jolies seins ? »
« Les vôtres, monsieur. »
« Bonne réponse. », et il lui tapota doucement sur la tête comme si elle était une enfant.
Spike lui a alors remis les attaches rapidement placé sur ses mamelons gonflés et brûlants, un après l'autre, elle tressaillit à leur morsure, respirant profondément jusqu'à ce que le plaisir ait avalé la douleur.
« Es-tu humide Buffy ? »
« Oui Monsieur, si humide. »


« Montre-moi ton sexe. Tiens tes lèvres ouvertes et frotte ton clitoris pour moi. »
Elle gémi d’appréciation. Dieu, il était désagréable, grossier et mauvais. Les mains de Buffy frottèrent frénétiquement son morceau, étendant ses jus glissants, pénétrant ses doigts dans son sexe gémissant de plus en plus.


« Bonne fille. Veux-tu être baisée ma jolie ? Ma petite Buffy regrette t-elle que le sexe de son homme ne soit pas enterré profondément à l'intérieur de sa petit chatte avide ? »

« Dieu oui ! Baisez-moi, monsieur ! »
Il lui tendit une prise anale qui l’avait caché dans sa poche
Tu vas l’insérer en toi et le tenir là jusqu'à ce que je te dise qu'il peut sortir. »
Elle poussa docilement la prise dans son anus, savourant la pénétration de l’objet souhaitant que ça soit son sexe au lieu à la place.
« Maintenant ma mauvaise fille, mets toi a genoux et insère le vibrateur dans ton sexe humide. »
Elle s’empressa de faire comme il lui avait demandé et gémi de plaisir quand le vibrateur la rempli à son tour, elle serra ses muscles intérieurs autour de l’objet et gémi de plus belle.
« Si seulement tu pouvais te voir. Je devrais peut-être te promener nue au bout d’une laisse pour que tout le monde puisse te voir, qu’en dis tu ? »
Buffy haletait maintenant, l’image de ce à quoi elle devait ressembler la faisant trembler de plaisir. Là elle était nue, à genoux aux pieds de Spike, une prise anal dans son cul, des attaches sur ses mamelons, un dildo énorme vibrant profondément dans sa chatte. Les choses ne pouvaient pas être mieux, il savait toujours de quoi elle avait besoin, son amour, son mari. Le fouet descendi avec la force brutale une fois, deux fois, trois fois directement à travers son cul, frappant la prise et la faisant se déplacer profondément à l'intérieur d'elle, elle cria à chaque coup, de douleur et de plaisir.
« Allez mon amour, baises toi maintenant, montre moi comment tu aimes être prise sauvagement. »
Elle commença à plonger le dildo dans son corps, gémissant comme un animal. Spike tira doucement sur chacune des attaches de ses mamelons resserrant la prise qu’ils avaient sur ses seins, la douleur augmenta son plaisir.
« Plus durement bébé, je vais faire en sorte que tu n’oublies jamais à qui tu appartiens, à moi, à personne d’autre. »
« Spike, oh Dieu s'il te plaît, s'il te plaît. Je dois jouir. Oh Dieu Spike ! »
Le fouet retomba de nouveau sur ses fesses et elle arqua dans les coups.
« Allez ma belle, baise toi et jouis pour moi. », il ne lui donna aucun répit frappant ses cuisses et ses fesses avec le fouet.
Pendant tout ce temps Spike se masturbait, observant le plaisir et la douleur jouer sur son visage.
« AHHhhhhhhhhhh !!!! Spike ! »
Buffy pompa ses hanches en même temps que les poussées de sa main pendant que des vagues de plaisir intenses déferlaient dans son corps.

« Fais-le, Buffy. Jouis pour moi maintenant, ma vilaine fille. FAITES-LE MAINTENANT ! »
Buffy hurlait alors qu’elle se baisait de plus en plus rapidement. Des larmes de plaisir coulaient sur ses joues, ses fesses étaient brûlantes et elle serrait ses muscles vaginaux autour du dildo, mais se sont les mots de Spike et ses actions sauvages qui l’a firent dégringoler dans l’abîme du plaisir, comme il lui avait commandé. Buffy s’effondra dans un tas tremblant, épuisée. C’était ce que son corps réclamait, ce que son démon voulait et ce que la fille humaine en elle désirait ardemment, chaque partie de sa personnalité était en symbiose parfaite
Buffy sentit les mains de la Spike soulever ses hanches et retirer la prise anale ainsi que le dildo.
« Je t’aime bébé. », lui murmurât-elle doucement.
Il la pris tendrement dans ses bras, la déposa sur le lit délicatement pour éviter plus de douleur sur ses fesses déjà abusées et il l’embrassa.
« Je t’aime aussi, chaton. », elle lui sourit paresseusement, ouvrant ses jambes large l’invitant en elle.
« Prends moi bébé, montre moi combien tu m’aimes. »
Il plongea en elle dans un coup lisse, s’enterrant dans ses profondeurs et lui montra exactement tout le plaisir que leur amour pouvait leur apporter.





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