Author's Chapter Notes:
et voici la suite merci a tout ceux qui marqué leur commentaires et merci a mon beta xxxxxx
Chapitre 2


Inutile de dire que quand la femme de ménage l’avait trouvé, il était sur le point d’exploser et la pauvre fut la réceptrice de toute sa rage au point qu’a un certain moment elle s’était mise à pleurer. Une fois libéré, il se mit à la recherche d’Ethan. L’imbécile ne fut pas trop dur à trouver, il habitait un appartement pourri au-dessus d’une laverie et Spike attendit patiemment qu’il mette le nez dehors pour l’amener faire une jolie ballade. Tout compte fait, il n’eut pas très longtemps à attendre, il était en planque depuis vingt minutes quand il le vit traverser la rue et entrer dans sa voiture. Spike le suivit quelque temps attendant le bon moment et quand celui-ci s’arrêta pour prendre de l’essence il l’accosta par derrière son arme pointée dans son dos et lui dit d’une voix basse.

« Entre dans la voiture maintenant. » Ethan se mit à trembler comme une feuille

«Tu te dépêche oui je n’ai pas toute la journée. » Une fois qu’il fut à l’intérieur de la voiture, il le menotta a son siège et pris la route.


«Je ne comprends pas, je t’ai dit tout ce que je savais. » Lui dit-il mais Spike ne lui répondit pas.. Il se contenta de conduire jusqu'à un endroit près du lac et durant tout le trajet la voix d’Ethan prenait des intonations de plus en plus désespéré, il posait milles question mais Spike resta stoïque. Quand ils arrivèrent, il sorti de la voiture et pris une corde dans son coffre et l’attacha dans un arbre, du coin de son œil il vit Ethan qui essayait de se libérer en vain, il l’interpella d’une voix neutre.

« Si tu t’enfuis, je te tire une balle dans le genou. » Alors L’autre homme resta immobile. Après avoir attaché la corde dans un système de poulies, il sorti Ethan de la voiture qui tremblait toujours et il lui attacha les mains dans le dos avec ses menottes, les pieds au bout de la corde et il attacha l’autre bout à sa voiture Ethan le suppliait mais ça faisait longtemps qu’il avait cesser d’avoir le moindre remord. Il démarra sa voiture et Ethan se trouva suspendu la tête en bas au-dessus du lac. Ethan cria de plus belle, Spike sorti sa tête de la voiture et hurla pardessus ses hurlements.

«Ou est parti Hank Summers ? »

«J’en sais rien je te jure. »

«Mauvaise réponse. » Spike fit légèrement marche arrière avec son véhicule et la tête d’Ethan se retrouva dans l’eau, il compta jusqu'à 20 avant d’avancer de nouveau et l’autre homme apparu en toussant.

«Ou est parti Hank Summers ? »

«J’en sais rien je te dis. » Lui hurla-t-il. Spike refit de nouveau marche arrière et sa tête disparue dans le lac, cette fois-ci il compta jusqu’à 40 avant d’avancer son véhicule. Ethan toussait et pleurait.


«Je te jure j’en sais rien. Sa fille l’a mis en sécurité quelque part, elle ne me fait pas confiance, elle fait confiance en personne. Il n’y a qu’elle qui sait ou il se trouve. »

« On se demande pourquoi tu vendrais ta mère pour sauver ta peau où habitait-il auparavant ? »

« 30 street Lane, la maison jaune. »

« Sa Fille Elizabeth elle est avec lui ? »

« Elle ne le quitte jamais, c’est elle le cerveau de l’équipe ça à toujours été, elle. » Spike devait avouer qu’il n’était pas surpris à la minute ou il l’avait vu, il avait su qu’elle était rusé et rapide mais il s’était laissé éblouir par sa bouche délicieuse et son petit cul rebondit. Il ne ferait pas deux fois la même erreur. Même si son parfum ne semblait pas vouloir quitter son esprit et qu’il pouvait toujours la goûter sur sa langue.

Satisfait de ses réponses Spike détacha Ethan et parti dans un crissement de pneu le laissant sur le bord du lac, l’air surpris d’être toujours en vie.


IL ne pensait pas trouver grand chose à l’adresse que Ethan lui avait indiquée mais il s’y rendit quand même. Mise appart des pamphlets de restaurant et des billets de cinéma, la maison était vide. Il en profita pour questionner les voisins qu’ils lui dirent tous la même chose, l’homme travaillait, la fille sortait que le soir toujours seul et elle ne parlait à personne. Il pensa brièvement qu’elle existence solitaire elle avait vécut, seule, sans aucun ami, la peur au ventre d’être séparée de son père à nouveau.


Après avoir enquêté encore un peu, il se rendit parler à Gloria, le bar était vide donc il lui paya quelque Whisky pour lui délier la langue et elle ne se fit pas prier.


« La blonde, je la vois environ deux fois par semaines. Elle s’assoie toujours au même endroit, elle n’est pas très jasante en fait mais elle réussit toujours à emballer un mec pour la nuit un touriste de passage la majorité du temps, jamais le même. »

«Merci Gloria, tu n’as pas la moindre idée, si elle avait un ami ici en ville ? »

«Eh bien dit donc, elle semble t’avoir taper dans l’œil. »

«Pas du tout, c’est pour une enquête. » Lui répondit Spike froidement la serveuse se mit à rire

« Pourtant vous seriez parfait l’un pour l’autre, tu sais à qui elle me fait penser, à toi, manipulatrice, se servant des autres pour arriver à leur but. Et froide comme la glace » Spike savait que ce n’était pas un reproche, elle avait toujours su qu’il ne pouvait rien lui offrir de plus. Il jeta de l’argent sur le comptoir et se dirigea vers la porte quand elle l’interpella.

«Tu es sur que tu ne veux pas te servir de moi un peu plus. » Il lui envoya un sourire séduisant avant de répondre.

«Peut être une autre fois prend soin de toi gloria. » Et il quitta le bar.

Spike avait une vue claire de qui était Buffy Summers un être méthodique, solitaire, rusé, pour qui la vie était un immense jeu d’échec ou elle jouait tous deux coups d’avances, elle collectionnait les aventures sans lendemain pour oublier un peu sa solitude et quand elle voulait quelque chose elle ne lâchait pas jusqu'à ce qu’elle l’obtienne peu importe les conséquences. Gloria avait raison, elle était finalement un miroir de lui-même.

………………………………………..

Buffy regardait d’un œil septique leur nouvelle demeure ce n’était pas le grand luxe mais ça ferait l’affaire et c’était surtout a plus de vingt heures de route de ce chasseur de prime qui les poursuivait depuis des années, elle avait souvent pensé à lui, parfois avec haine et d’autre fois avec quelque chose qui s’apparentait à de la gratitude. Elle ignorait pourquoi, il l’avait laissé partir avec son père il y a dix ans, mais elle savait que sans lui son père pourrirait en prison pour un crime qu’il n’avait pas commis. Elle avait essayé de trouver le vrai coupable au fil des années mais leur fuite constante lui avait toujours mis des bâtons dans les roues. Elle savait que la solution serait qu’elle laisse son père et parte de son coté faire des recherches mais elle n’avait jamais osé. Malheureusement il l’avait échappé belle cette fois et il était temps de mettre ses scrupules de coté soupirant, elle rentra dans la maison parler à son père.

«Papa nous devon parler. » Celui-ci leva les yeux du livre qu’il lisait, il était professeur avant toute cette histoire. Maintenant sa seule élève c’était elle et elle avait mis une acquitté sans faille à ses études pour qu’il soit fière d’elle.

«Qui a-t-il mon ange ? »

«Je vais partir durant un moment personne ne pourra te trouver ici. Tu as des provisions pour quatre mois et j’essayerai de te trouver un autre emplacement très vite un peu moins isolé. »

«Tu as enfin décidé à reprendre une vie normale ? » Il l’a suppliait depuis des années de le faire, ce chasseur de prime avait eu raison. Il aurait du la laisser la bas mais il ignorait ce qu’il savait, là-bas elle serait déjà morte. Il en était sur, il l’avait senti dès qu’il avait retrouvé le corps de Dawn et Joyce le meurtrier n’avait pas fini son travail.

« Non, tu sais que je ne t’abandonnerai jamais. »

«Alors je me rends à la police, tout ça a assez duré. » Répondit-il d’une vox forte.

«Non laisse-moi quelque temps ok. »

«Non, Elizabeth, écoute-moi, tu as 22 ans, tu n’as aucun ami, tu crois vraiment que j’ignore quel genre de vie tu mènes, tous ces hommes avec qui tu couches par pur ennuie ou pour notre survie ? Sans toi, je ne me serais jamais rendu aussi loin, je suis ton père c’est à moi de te protéger. Non le contraire. »

«Ne dit pas de bêtises, nous avons tous fait des sacrifices dans cette histoire et je refuse de laisser le meurtrier de ma mère s’en tirer. Je t’en prie, donne-moi 4 mois d’accord, si je n’ai rien trouvé alors tu pourras te rendre mais laisse-moi tenter ma chance. »

Hank soupira, il ne pouvait rien lui refuser ça avait toujours été son problème.

«D’accord mais à une condition. »

«Laquelle ? »

«Il y a 4 ans à Denver quand ce policier nous a trouvé. Comment as-tu fait pour nous sortir de là? Et je veux une réponse honnête cette fois pas «je me suis enfuie par la fenêtre des toilettes du poste d’essence. » Je ne l ‘ai pas cru à l’époque et je ne le crois toujours pas aujourd’hui. »

Buffy le regarda longuement et lui répondit résigné.

«Je lui ai offert quelque chose qui ne pouvait pas refuser. »

«Quoi ? »

«Moi, aussi souvent qu’il le voulait et dans toutes les positions qu’il le voulait. » Elle ne pouvait pas supporter voir la déception sur le visage de son père. Donc elle tourna la tête mais il ne la laissa pas faire. Il pris son visage dans ses mains et lui embrassa le front tendrement avant de lui murmurer.

«Je ne te mérite pas. »

«C’est faux, tu es le meilleur père du monde. » Il s’éloigna prenant son livre avec lui et alla dans sa chambre. Une fois la porte fermé, il fondit en larmes. Il ne voulait pas qu’elle le voit pleurer sur l’enfance qui lui avait volé. Il n’avait pas tué Dawn et Joyce mais il avait assurément détruit la vie d’elizabeth.

………………………….

Spike était rentré chez lui depuis une semaine. Riper avait rie aux larmes quand il avait entendu son histoire et il le soupçonnait de toujours le faire parfois, il avait pris deux autres cas faciles et il devait avouer que sa vie semblait plutôt morne depuis son retour. Il n’avait trouvé aucunes traces menant à Henry Summers et il était des plus contrecarré.

Il fainéantait dans son local, les pieds sur son bureau quand la sonnette de la porte annonça qu’il avait un visiteur. Il ne se donna pas la peine de regarder qui venait d’entrer. Harmonie pourrait s’en occuper si elle n’était pas entrain de se faire les ongles. Pourquoi Rupert la gardait était au-delà de lui vraiment ! Il entendit des pas approcher mais il n’ouvrit les yeux que quand la personne se trouva à deux pouces de son visage penché vers lui. Il allait hurler à Harmonie de décampé, mais quand il ouvrit les yeux, il se trouva plonger dans des yeux verts, très familier, il repoussa sa chaise et se leva en vitesse.


«Bonjour Spike. » Lui dit Buffy d’un ton amusé.

« Qu’est-ce que tu fou ici bon sang? Attend un peu j’en ai rien a faire tu es en état d’arrestation. » Lui dit il lui prenant le bras et la forçant à se pencher sur le bureau pour qu’il puisse lui passer les menottes.

«En état d’arrêt pourquoi justement ? » Lui demanda-t-elle d’un ton cynique.

«Tu es une fugitive. » Lui dit-il comme si ça expliquait tout.

«Non pas vraiment, mon père oui mais moi je ne suis qu’une victime d’enlèvement. Ils seront heureux de me retrouver et je serai libre dans deux heures. » Spike jura quand il comprit quelle avait raison.

«Allons cesse de faire l’enfant j’ai une offre à te faire. »

«Je ne suis pas intéresser par tes offres, je t’amène au poste, ils trouveront bien de quoi t’inculper.»

«Et si je te disais ou se trouve mon père ça te rendrait heureux ? »

Spike la retourna pour la regarder dans les yeux se demandant à quoi elle jouait cette fois.

«Quel est le piège ? » Lui demanda-t-il suspicieux.

«Il n’y en a aucun, je te dirai ou se trouve mon père si tu m’aides dans mon enquête. »

«Quoi tu es dingue ? »

« Penses-y, tu m’aides à prouver que mon père est innocent et je te dis ou il est. »

«Et si il est coupable ? »

«Je te le dirai aussi, seulement tu dois me donner quatre mois. »

«Oui c’est ça et durant ce temps ton père à tout le loisir de quitter le pays, non-merci. »

«IL l’a peut être déjà quitté à l’heure qu’il est, tu n’en sais rien, je pourrais enquêter seule mais je n’ai pas tes contacts. Qu’en dis-tu, tu m’aides et je t’offre Hank Summers sur un plateau d’argent. »

Il a regarda essayant de voir ou état le piège mais il pouvait dire qu’elle semblait très sérieuse

«Pourquoi ? » Fut sa seule question

«Mon père n’en peut plus de vivre caché, il m’a donné quatre mois pas un jour de plus, sinon il se rend de lui-même. »

Finalement son idée n’était pas si bête et puis il pourrait effacer une fois pour toutes, les doutes qui ne cessaient de le harceler sur la culpabilité de Henry Summers.

«D’accord à une condition. »

«Laquelle ? »

«Je veux des bénéfices. » Lui dit-l en la déshabillant des yeux elle soupira irrité.

«Tu veux coucher avec moi ? On ne t’a jamais dit que tu étais un porc? »

«Très souvent et puis ne joue pas les vierges offensés, je sais de source sure que tu t’es bien amusée la dernière fois. »

«Non vraiment, je suis une très bonne actrice. »

«Ah oui et tu peux simuler l’éjaculation féminine aussi? Avoue-le Buffy, tu étais si humide que ça coulait le long de tes cuisses et tu avais la voix rauque à force de crier mon nom. » Lui dit-il d’un ton séduisant et elle sentit le désir l’envahir à nouveau, ses mamelons se dressèrent sous sa blouse aux images que sa voix créait dans son esprit et elle maudit son corps déloyal, mais elle devait avouer qu’il était le meilleur qu’elle n‘avait jamais eu, c’était comme si son corps était fait pour aller avec le sien.

« D’accord. » Lui répondit-elle irrité.

« Bonne fille. » Lui dit-il en l’entraînant vers la sortie. « Première étape, nous devons sceller cette entente. »

« Comment ? » Demanda-t-elle en roulant ses yeux.

«Tu sais comment. »

« Tu penses toujours avec ta queue ? » Lui demanda-t-elle d’une vois exaspéré.
Il haussa les épaules

« La plus part du temps, je suis un homme.»





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